Yerres
Centre ville
Le Centre Albert Calmette (autrefois préventorium Calmette)
1 rue de La Grange
A
l'extrémité de la
rue de Paris (rue Charles de Gaulle) se trouvait l'entrée du
Préventorium (appelé également
Sanatorium dans les
diverses
documentations)
Le commerce que l'on aperçoit en haut des marches est devenu un institut de
beauté.
A droite dans la descente : la rue de l'Abbaye
La rue en face (avec
les
cyclistes) :
rue Danièle Casanova
(ex-Camaldules et ex-Vignes).
A gauche : la rue de La Grange, (ex-rue de La Montagne de La Croix),
une
des plus anciennes de Yerres.
Calmette (N°1) : entrée de l'Établissement.
Aujourd'hui, à la place de la grande grille à gauche : un parking.
Le
petit bâtiment carré en face entre les 2 entrées fut
l'emplacement
du premier bureau de Poste de Yerres.
Le fléau de la fin du XIXème siècle et
du
début du XXème siècle : la tuberculose.
Ici : les "galeries
de cure" au centre.
Sanatorium : avant extension des deux ailes.
Les malades se reposaient autour du grand bassin dans ce magnifique
parc.
Sanatorium : avant extension des deux ailes.
Ces magnifiques arbres du parc n'existent sans doute plus aujourd'hui.
Sanatorium : en avançant de quelques mètres par rapport à la vue précédente
Après avoir été sanatorium pour
adultes malades,
l'établissement est devenu
un préventorium accueillant les enfants
primo-infectés de la région parisienne.
Calmette (N°2) : façade principale
Il y a eu extension des bâtiments des deux côtés par rapport à la vue précédente.
Les sanatoriums (préventoriums ou aériums)
étaient
nombreux à proposer des
cures au grand air.
Calmette (N°3) : façade principale vue du Parc
On remarque qu'après l'extension des deux ailes , on n'accueille plus que
de jeunes malades.
1949 : préventorium Albert Calmette : La kermesse de fin d'année.
Calmette (N°4) : un coin du Parc
L'air pur de la campagne.
Calmette (N°5) : pavillon d'observation des enfants à leur arrivée
Pour éviter la contagion, mesures d'isolement.
Calmette (N°6) : service médical
2017 : MDJ Fontaines
L'ancien service médical transformé par une extension à gauche abrite
une Maison des Jeunes "Fontaines".
En arrière-plan, la rue Charles de Gaulle (ex rue de Paris) où se trouve
l'entrée du parking pour accéder au "Centre Calmette".
Vers 1960 : Le préventorium Calmette - éditeur Raymon - nouveau -
Vers 1965 : préventorium Calmette
Calmette (N°7) : dortoir de garçons.
Il fallait apprendre à faire son lit "au carré" comme à l'Armée.
Calmette (N°8) : dortoir de fillettes.
Très spartiate, comme pour les garçons, il fallait faire son lit comme il faut.
Calmette (N°9) : La Sieste
Les lits étaient plus que rudimentaires
La primo-infection a été le fléau de l'entre-deux-guerres.
Calmette (N°10) : terrain de Jeux.
Il n'était pas interdit de s'amuser!
Calmette (N°11) : classe en plein air.
Préventorium Albert Calmette : classe en plein air dans l'entre-deux-guerres.
Calmette (N°12) : classe en plein air.
tenues confortables pour dehors par canicule.
Calmette (N°13) : travaux d'agrément
Calmette (N°14) : gymnastique respiratoire
Calmette (N°15) : gymnastique rythmique
Calmette (N°16) : Exercices d'assouplissement
Calmette (N°17) : La Gymnastique
Surveillés par des Religieuses.
Calmette (N°18) : Le Goûter
L'heure de la récompense que ces enfants n'auraient loupé pour rien au monde.
Calmette (N°19) : un jour de fête
Visiblement en période estivale, distractions culturelles.
Calmette (N°20) : une fête sous le préau
Elles ont tellement répété, la récompense suprême sur l'estrade avec le public
probablement des membres de leurs famille.