Yerres
Centre-Ville
Rue de Paris (Charles de Gaulle)

Vers 1930 : rue de Paris (éditeur Cuvillier successeur Mulard)
Au niveau du 71 rue Charles de Gaulle actuel.
Le "Salon Moderne" qui diffusait des produits Forvil est toujours un salon de
coiffure, ayant changé d'enseigne à maintes reprises, un commerce alimentaire se
trouvait au niveau de la boulangerie actuelle, quant au photographe, à gauche,
il s'agissait de la boutique de Mulard qui a tant immortalisé Yerres en lieu
et place du fleuriste actuel.

Photo
de la collection personnelle de Paul Jeunet. Ne pas reproduire sans
autorisation.
Cette photo amateur un peu floue nous permet quand
même de reconstituer
l'environnement et l'atmosphère de notre ville.

Au Petit Louvre, un magasin chic, aujourd'hui c'est ORPI, une agence immobilière.
La statue de l'enfant au Dauphin est encore sur la Place du Taillis
A
droite derrière les arbres
la
Place de la Mairie
aujourd'hui Place de La Poste.
La statue de la Place du Taillis était encore en place. Un
magasin de produits
de base "Au
Cours des Halles", une "papeterie
et liqueurs"
ont fait place
à un restaurant chinois "Le
Château de Yerres" En lieu et place de
"L'épicerie
de choix"
une agence immobilière.

Dans les années 30 au même endroit. On remarque un
commerce de peinture à
droite à la place de la grille des années 10. En 2006, il
existe toujours un
chirurgien-dentiste au dessus de la "boutique
à louer". La statue a disparu.
"Papeterie-Liqueurs" est
devenue "Papeterie-Journaux.
Les arbres de la Place
de La Mairie ont été transformés.

Octobre 2020 : angle Charles de Gaulle/ rue de Concy
La librairie-papeterie (en face) a fusionné avec le "Cours des Halles" et
est devenu un restaurant de spécialités asiatiques. Les bâtiments
d'origine au dessus des commerces ont été détruits pour la création
d'habitats collectifs. A droite, la Poste et la place de l'Eglise actuelles.
Tous les bâtiments qui se trouvaient à droite ont été détruits.

Cette photo est rare :
Vers les années 50, dans cet immeuble se trouvait un
marchand de cycles,
Maritan, dont se souviennent peut-être encore certains Yerrois.
